mardi 27 septembre 2016

Semaine 3 : Les façons de savoir Autochtones

D'après le cours de Dr Hare, j'aimerais réfléchir sur les comparaisons et les contrastes entre les façons de savoir (en anglais, « ways of knowing ») des peuples Autochtones avec le système d'éducation publique ici en Colombie-Britannique. Ceci n'est pas pour créer une distinction entre « eux » et « nous, » mais c'est pour noter à quels endroits les façons de savoir ont des points communs et aussi comment les écoles et les enseignants peuvent intégrer plus de ses façons de savoir dans leurs leçons.

En ce qui concerne les points communs entre les façons de savoir Autochtones et Allochtones, il me semble que particulièrement à l'école primaire, il y a beaucoup d'emphase sur l'instruction et la communication orale, ainsi que l'utilisation de la narration pour présenter de l'information aux élèves. En faisant une unité sur les peuples Autochtones par exemple, les enseignants peuvent facilement mentionner que plusieurs aspects de la culture et de la tradition des groupes Autochtones sont transmis à l'oral et dans la forme des histoires et narrations. Les élèves peuvent commencer à faire les liens entre les méthodes traditionnelles de savoir et les méthodes Autochtones.   

Toutefois, il y a des distinctions entre les façons de savoir autochtones et l'éducation primaire public. Un des plus grandes distinctions que je remarque c'est comment les connaissances et l'information sont transmises. Souvent, les Allochtones mettent un emphase sur l'éducation publique (ou privée) d'enseigner aux élèves la majorité de leurs connaissances. Cependant, plusieurs groupes Autochtones mettent plus d'emphase de la transmission des connaissances et de l'information par la communauté, la famille et les aînés. D'après moi, une méthode efficace d'incorporer cette façon à savoir plutôt Autochtone, c'est d'inviter les parents et d'autres membres de la communauté dans nos salles de classe pour parler de leurs cultures, leurs matières etc. Même si on ne le rend pas explicite que nous incorporons une façon de savoir viennent des peuples Autochtones (mais on peut bien sûr le mentionner), je peux voir comment cela peut enrichir l'expérience et les perspectives des élèves dans la classe.  

mercredi 21 septembre 2016

mardi 20 septembre 2016

Mini-projet #1 : présence autochtone

Preuve de la présence autochtone à la rue Lillooet à Vancouver. La nation St'át'imc, qui inclut la tribu Lillooet (T'it'q'et), sont les habitants originaires d'une riche pêcherie ouest de la rivière Fraser aux source de la rivière Lillooet, de la rivière Ryan et de Black Tusk.  

Information de : http://www.statimc.net

Semaine 2 : Le concept sociale et l'enseignement autochtone

La semaine dernière, professeur Hare a discuté du concept de la socialisation, en ce qui concerne l'enseignement et les peuples autochtones. Je suis très familière avec le concept sociale parce que je l'ai étudié dans plusieurs de mes cours de sociologie. D'après moi, le concept sociale est très pertinent en expliquant beaucoup de phénomènes complexes dans notre société comme la division des sexes et les représentations et les réactions aux problèmes environnementaux pour en nommer quelques-uns. Dans cette réflexion, j'aimerais appliquer mes connaissances du concept sociale sur comment les enseignants peuvent aborder les cultures, les traditions et l’histoire des peuples Autochtones. 

Le concept sociale—qui se définit fondamentalement comme la manière dont les personnes dans une société forment des systèmes et des valeurs semblables basée sur les notions en ce qui consiste de la “réalité”—peut aider à expliquer comment les enseignants peuvent former leur bases de connaissances sûr les Autochtones, puis les refléter et les reproduire sur leurs étudiants. Par exemple, si une personne a grandi dans un milieu où il y a certaines stéréotypés des peuples Autochtones et a étudié dans une école où un dialogue particulier est associé aux peuples autochtones, le concept sociale exige que cette "réalité" est probablement ce qui serait enraciné dans les pensées de cette personne. Par contre, si une personne a grandi dans un milieu où il y a beaucoup de discussion à propos de la culture et des traditions des différents peuples Autochtones, le concept sociale exige que leur "réalité" serait très différent que la première situation qui vient d'être décrit.

En appliquant cette idée du concept sociale, je peux commencer à imaginer comment les expériences précédents des enseignants peuvent avoir un effet majeur sur comment ils abordent des leçons à propos des peuples autochtones dans leurs propres leçons. Somme toute, c'est important que tout le monde réfléchisse sur comment le concept sociale à contribuer à la formation de certaines normes qui existent dans notre société. Mais, peut-être les enseignants ont une responsabilité encore plus profonde de questionner ses normes et comment ils impliquent leur enseignement, particulièrement envers un sujet qui peut être tellement remplit de notions préconçus envers les peuples Autochtones.

dimanche 11 septembre 2016

Semaine 1 : L'éducation sur les autochtones pour tous

Dr Jan Hare, le professeur magistral de EDUC 440 à UBC, a commencé son cours en mettant l'accent sur le fait que l'éducation autochtone est pour tous. C'est-à-dire que l'apprentissage de l'histoire, les traditions, les cultures et les modes de vie (pour nommer quelques aspects) en ce qui concerne les autochtones de maintenant et du passé n'est pas seulement utile ou important pour les étudiants d'ascendance aborigènes, mais pour tous les élèves qui passent par le système d'éducation, n'importe leur milieu. Dr Hare a continué avec la suggestion que cette éducation autochtone offre d'autres façons de voir le monde. Concernant ces affirmations, j'aimerais offrir quelques réflexions sur l'impact positif que ce cours peut avoir dans mon éducation personnelle et dans ma futur carrière comme enseignante.  

Premièrement, dans mon éducation personnelle, je suis toujours en quête de nouveaux perspectifs et point de vues de comment voir le monde. Il me semble que l'EDUC 440 me donnerait bien l'occasion de mieux comprendre comment certaines personnes autochtones voient le monde, mais aussi comment et pourquoi ils adoptent cette vision du monde. Naturellement, il y a de la variation parmi les différentes personnes et groupes (Premières Nations, Métis et Inuits comme j'ai appris), mais l'histoire, les connaissances et les façons de savoir aux traditions autochtones en générales ont tendance de diverger de la vision du monde dominante. Pourtant, je suis prête de non seulement mieux comprendre les perspectives autochtones, mais de peut-être même enrichir ma vision du monde aussi.

Deuxièmement, dans ma futur carrière comme enseignante, je vois l'importance du point de vue que Dr Hare a offert que l'éducation autochtone c'est pour tous. Comme Dr Hare a mentionné, tous les habitants du Canada partagent une histoire coloniale. Donc, c'est important que même les jeunes comprennent et engagent avec l'éducation autochtone pour commencer le processus de réconciliation. Je commence déjà à réfléchir sur les différentes façons dont je peux incorporer l'éducation autochtone dans un cours où les élèves n'ont peut-être pas eu beaucoup de contact avec les perspectives autochtones auparavant. Mais, avec tellement d'histoire à couvrir, je me demande où est-ce qu'on commence ?